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31.03.1993 - Vague d'ovni sur la FranceÉ

 216 - 31.03.1993 - Vague d'ovni sur la FranceÉ
Franck MARIE, 1995, 24 pages, 30 F

Ufologie - Enquète
18 départements survolés ! Témoins : des militaires, des gendarmes : les faits se présentent comme une suite logique de ceux du 5 novembre 1990 ! Le public a été une nouvelle fois manipulé !

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Sommaire

2 - Contexte de l'étude; liste des faits de la période
3 - C'était une fusée russe - De qui se moque-t-on ?
4 - Cas de Saint Clair du Rhône - Un énorme projecteur avant 4 - Des caractéristiques "hors-normes" 5 - Un cylindre long de 40-50m - dématérialisation
6 - L'OVNI de Grenoble a sidéré les couche-tard (article)
7 - Cas de Reymure-Vif (38) - Cas de Solaize (69)
9 - Cas de Satolas, tour de contrôle; Des aiguilleurs ont vu l'OVNI invisible aux radars (article)
10 - Cas d'Antraigues (07), St Paul Trois Châteaux (26)
13 - Cas d'Aubagne (13) - Comme des avions qui clignotaient (article)
14 - Cas de St Julien les Rosiers (30)
15 - Cas de Pelacoy (46) - Des objets longs de 500 mètres et plus
16 - Cas de Castelnaudary (11), Pamiers (09), Blagnac (31), Revel (31)
18 - Cas de Bagnères de Bigorre (65), Rouillac (16), Bordeaux (33)
19 - Un OVNI en deux morceaux (article)
20 - 23 : Analyse et synthèse par Banque Ovni




















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1993.03.31 - 02:20 - Cas de Saint Clair du Rhône
Enquête du Groupe Magonia, Denis Alarcon, publiée dans Ldln 318, p. 4 et suiv.
 Relation des faits : Les gendarmes R. et D. patrouillent sur la commune de Saint-Clair-du-Rhône, ce 31 mars 1993 à 02h 20 du matin, lorsqu'ils sortent de l'agglomération en direction du sud. A cette heure avancée le secteur est désert. Le véhicule arrive à la hauteur d'un croisement donnant accès à une mini-zone industrielle lorsque ses deux occupants aperçoivent soudain, en plein ciel, venant de leur droite, ce qu'ils prennent d'abord pour un avion gros porteur, en détresse, sur le point de se crasher. En effet, lorsqu'ils le repèrent, l'appareil n'est guère à plus de trois cents mètres d'altitude, sensiblement au-dessus du village de Saint-Alban, loin des couloirs aériens autorisés.




















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SOMMAIRE - Liste - Extraits - Sortie - RETOUR - SUITE  Un énorme projecteur avant : Il laisse des traînées lumineuses dans son sillage. Un puissant projecteur d'atterrissage est allumé, et la descente s'effectue selon un angle prononcé à une vitesse comparable à celle d'un avion à réaction sur le point de se poser. Mais il n'y a pas de piste dans le secteur !
La trajectoire suivie laisse supposer, dans les secondes à venir, un point d'impact à moins de 250 mètres de la position du véhicule de gendarmerie. Le gendarme R, qui commande la patrouille, immobilise immédiatement son véhicule et coupe le moteur et les phares. Mais au lieu de percuter le sol, l'engin opère un redressement suivi d'un très brutal ralentissement.




















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SOMMAIRE - Liste - Extraits - Sortie - RETOUR - SUITE  Des caractéristiques "hors-normes" : Les gendarmes commencent à réaliser qu'ils assistent à un spectacle peu banal. L'approche de l'engin tout d'abord : elle s'est effectuée dans un silence le plus total ce qui a de quoi surprendre compte-tenu de la proximité du phénomène (moins de 250 mètres à cet instant et rappelons que le moteur du véhicule de patrouille était arrêté). L'aspect de l'"engin" ensuite : pour un avion, il a plutôt l'air bizarre avec sa structure dépourvue d'aile, d'empennage et de gouvernail de profondeur (appendices classiques des avions conventionnels). Il ressemblerait bien plus à un T.G.V. !
Peu rassurés mais soucieux de leur devoir, les gendarmes décident de se rapprocher pour mieux observer, d'autant que l'engin est en train de se livrer à un survol quasi-statique. Le gendarme R. remet donc en route son véhicule, allume ses phares et traverse la D.4. Ils se rapprochent ainsi à une cinquantaine de mètres environ du mystérieux aéronef et peuvent discerner de nouveaux détails.



















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SOMMAIRE - Liste - Extraits - Sortie - RETOUR - SUITE  Un cylindre long de 40 à 50 mètres : La structure générale de l'engin apparaît comme "cylindrique" et d'assez grandes dimensions compte-tenu des points de repère disponibles. La longueur est en effet estimée à 40-50 mètres et la hauteur ou diamètre - les gendarmes n'ont pu observer qu'un profil - de l'ordre de 6 à 8 mètres. Sur le tiers arrière (par rapport au sens de la marche), 4 ou 6 ÒhublotsÓ d'une luminosité très intense sont disposés à intervalles réguliers. Toute la structure principale est surmontée d'une sorte d'arête ou excroissance profilée. A l'avant, plus difficilement observable compte-tenu de la position de l'engin par rapport aux gendarmes - vue en perspective arrière gauche - un puissant phare blanc-bleuâtre rayonne dans le sens de la marche. Il semble, par ses proportions, occuper toute la face avant. Mais, comme les gendarmes ne l'observent pas directement, ils ne peuvent fournir plus d'indications à son sujet.
A la base de la structure, sous toute la moitié avant, des émissions de ÒvapeursÓ sont remarquées. L'engin, malgré la très faible distance s'avère totalement silencieux. Il semble planer à une altitude d'environ une vingtaine de mètres sans pour autant éclairer le sol bien que l'ensemble de sa structure soit décrite comme brillante, d'une couleur indéfinissable.

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SOMMAIRE - Liste - Extraits - Sortie - RETOUR - SUITE  Dématérialisation soudaine : Les gendarmes ne constatent aucune interaction visible avec l'environnement, aucune anomalie électrique, aucune sensation physique ni psychique (si ce n'est une bien compréhensible appréhension face à un engin manifestement matériel et massif qui ne ressemble à rien de connu).
Les gendarmes en sont là de leur observation lorsqu'un véhicule automobile se fait entendre sur la D4 venant du Sud. A ce moment et sans que rien dans l'aspect ou le comportement de l'engin ne l'ai laissé prévoir, celui-ci s'évanouit littéralement sur place, comme s'il se dématérialisait ou accélérait d'une façon tellement prodigieuse que l'&Ïlig;il humain soit dans l'incapacité de l'enregistrer, c'est en tout cas l'impression ressentie par les gendarmes Trajectoire rectiligne : L'engin venait de l'Ouest, des Monts du Pilat et suivait une trajectoire orientée Sud-Est. Le survol stationnaire à basse altitude a été bref : 15 secondes environ après une phase d'approche descendante approximative de 10 secondes. Une centrale nucléaire se trouve à environ 2 km au Sud du site d'observation. Il ne s'est rien passé le 31 mars 1993 ! Allez donc croire le Sepra-Cnes !

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Franck MARIE, banquovni@aol.com - Services et réalisation de projets
Mise à jour 21/08/1997 - Copyright Franck MARIE, Banque Ovni 1997. Tous droits réservés.